Vendredi le 12 octobre 2012
Brutalité Policière.
Mais jamais voyons donc!
L’agression qui fait l’actualité,
Stéfanie Trudeau, clone des P.P. (Polices Provinciales) des années 50.
Commençons par dire qu’en cette
année 2012 le taux de brutalité policière a atteint des sommets remarquables et
remarqués (Printemps Érable).
Même les policiers les plus hauts gradés, ceux
qui continuellement minimisent les actes de leurs brutes les plus incontrôlables,
ont dû admettre pour cette fois-ci que l’évidence leur sautait aux yeux. Difficile
de mettre un pourcentage sur la fréquence de tels incidents (comme ils
disent) il y en a tant et tant qu’en somme chez la Police, maltraiter les
citoyens qui pensent ou qui agissent de
façon ‘suspecte’, est une norme tout à fait acceptable. Vrai, cela fait
partie de la job et de la définition de tâche.
Comment une Stéfanie Trudeau a-t-elle pu échapper aux contrôles pendant tant d'années, être seulement recrutée après son passage à l'Institut de Police à Nicolet? Personne donc avant ces incidents à répétition dont on dit que son dossier est surchargé, ne s'est donc avisé de ce que sa conduite avait de répréhensible? Voilà qui en dit long sur sa véritable nature et celles de ses confrères et consœurs qui la connaissent, la côtoient, et ne remarquent rien, parce qu'au fond ils et elles sont pareils (les).
Chez le policier moyen, la formation qu'il reçoit l'oblige à la courtoisie de façade avec le citoyen. Bien sur qu'il y en a qui sont enclins de par leur éducation familiale, à être courtois et respectueux des autres, mais ce n'est pas la norme, puisqu'il faut leur enseigner de telles choses, et leur imposer un code déontologique dont ils se passeraient bien autrement.
Lorsqu'il y a accrochage et il y en a tout le temps, leurs représentants insistent lourdement avec une sorte d'indignation factice, pour nous dire que les policiers ne sont pas comme ça, i.e. des grossiers personnages qui doivent constamment se retenir de se montrer tels qu'ils sont. C'est tellement vrai qu'il n'y a qu'un policier, surtout pris en défaut, pour protester de sa gentillesse, de sa courtoisie, et comme il voudrait qu'on lui soit reconnaissant d'être poli, alors que pour le citoyen courant, je veux dire civilisé, cette affaire de politesse et de courtoisie, de déférence et de maintien face aux situations difficiles est tellement naturelle, qu'il ne lui viendrait pas à l'idée de protester ainsi continuellement de sa bonne éducation, et de vouloir être louangé de se conduire de façon normale.
Ils vous diront (ils me diront) que j’ai tout faux. Je leur répondrai que non je n’ai pas tout faux, et qu’ils sont mal placés pour me distinguer en matière d’intervention policière ce qui est vrai de ce qui est faux, ce qui acceptable de ce qui ne l’est pas. Ce jugement général-là appartient aux citoyens qui sont les patrons des policiers, ceux qui payent pour le service, et que ces citoyens n’ont pas de comptes à rendre aux policiers, alors que c'est le contraire qui est la norme.
Comment une Stéfanie Trudeau a-t-elle pu échapper aux contrôles pendant tant d'années, être seulement recrutée après son passage à l'Institut de Police à Nicolet? Personne donc avant ces incidents à répétition dont on dit que son dossier est surchargé, ne s'est donc avisé de ce que sa conduite avait de répréhensible? Voilà qui en dit long sur sa véritable nature et celles de ses confrères et consœurs qui la connaissent, la côtoient, et ne remarquent rien, parce qu'au fond ils et elles sont pareils (les).
Chez le policier moyen, la formation qu'il reçoit l'oblige à la courtoisie de façade avec le citoyen. Bien sur qu'il y en a qui sont enclins de par leur éducation familiale, à être courtois et respectueux des autres, mais ce n'est pas la norme, puisqu'il faut leur enseigner de telles choses, et leur imposer un code déontologique dont ils se passeraient bien autrement.
Lorsqu'il y a accrochage et il y en a tout le temps, leurs représentants insistent lourdement avec une sorte d'indignation factice, pour nous dire que les policiers ne sont pas comme ça, i.e. des grossiers personnages qui doivent constamment se retenir de se montrer tels qu'ils sont. C'est tellement vrai qu'il n'y a qu'un policier, surtout pris en défaut, pour protester de sa gentillesse, de sa courtoisie, et comme il voudrait qu'on lui soit reconnaissant d'être poli, alors que pour le citoyen courant, je veux dire civilisé, cette affaire de politesse et de courtoisie, de déférence et de maintien face aux situations difficiles est tellement naturelle, qu'il ne lui viendrait pas à l'idée de protester ainsi continuellement de sa bonne éducation, et de vouloir être louangé de se conduire de façon normale.
Ils vous diront (ils me diront) que j’ai tout faux. Je leur répondrai que non je n’ai pas tout faux, et qu’ils sont mal placés pour me distinguer en matière d’intervention policière ce qui est vrai de ce qui est faux, ce qui acceptable de ce qui ne l’est pas. Ce jugement général-là appartient aux citoyens qui sont les patrons des policiers, ceux qui payent pour le service, et que ces citoyens n’ont pas de comptes à rendre aux policiers, alors que c'est le contraire qui est la norme.
D’ailleurs s’ils me disaient une
chose pareille cela renforcerait mon point de vue, alors que je leur signalerais
que le seul fait qu’ils n’acceptent pas mon point de vue, prouve la justesse de
celui-ci. J’ai une longue expérience des agressions policières. Jamais dans ma
vie pourtant bien remplie d’expériences variées, je n’ai été attaqué dans la
rue où que ce soit, par des malfrats, des voleurs qui en voulaient à mon
portefeuille, des vauriens qui voulaient m’assommer pour un coup d’œil malheureux.
Bref je n’ai pas à me plaindre de la gent délinquante ou criminelle. Quant aux rares fois où j'ai fait appel aux services policiers, en signalant par exemple qu'un itinérant gisait dans la rue, je me suis fait rembarrer avec le sentiment que si j'insistais il allait m'en cuire.
Avoir été apostrophé
grossièrement par des policiers, ça oui ! Avoir été provoqué et insulté par des
policiers, ça oui ! Avoir dû porter plainte contre des policiers, ça oui! Pour
des résultats désolants, humiliants, minimalistes. Au cours de 30 dernières années si on faisait
le compte, on s’apercevrait au vu des interventions policières, que ce soit
dans la rue lors de manifestations pacifiques, ou lors d’interventions
individuelles, la règle chez les policiers c’est la brutalité, la provocation.
La courtoisie, le respect sont des exceptions. Chacun de vous qui me lisez avez votre anecdote personnelle de la bêtise policière. Cela fait un bien gros tas de bêtises!
Il y a au moins une vingtaine de
citoyens, probablement plus encore, qui ont été abattus, tués par la Police au Canada, depuis moins de 15
ans, et je ne compte pas ceux, innombrables, qui ont été rudoyés, tabassés, humiliés et volés. Je ne connais aucun policier qui, à part des tracasseries
administratives a été envoyé en prison pour ses crimes. Mettre un policier
en prison cela ne se fait pas. Sauf s’il trahit sa classe en se livrant à des
actes qui jettent le discrédit sur l’Institution Policière. Jamais s’il
commet un acte insensé contre un citoyen dans l’exercice de ses fonctions. Quand
il se fait pincer, parfois il se suicide.
Choses que ces messieurs-dames de
la Police n’aiment pas entendre, au prétexte que la Police ce n’est pas une
association d’enfants de cœur, je ne vous le fais pas dire. Une pas si ancienne étude statistique faite sur des milliers de policiers, plaçait ces derniers aux tous premiers rang des batteurs de femmes, tout comme les médecins, avocats, et camionneurs. Mais pourquoi grands
dieux une profession qui a pour devoir de maintenir la paix publique, devrait-elle
au contraire être celle qui cause le plus de dommages à celle-ci? C’est une
affaire de préservation de budgets et de sauvegarde des privilèges qui vont avec.
Tout le monde a remarqué avec
raison, avec évidence, que n’eut été des téléphones cellulaires, la constable
Stéfanie Trudeau, brute frustrée, malade psychopathe rétribuée par le public, n’aurait
jamais été sanctionnée. Des Stéfanie Trudeau, des Allan Gosset, et autres Jean
Loup Lapointe et Stéphanie Pilotte, il en
pleut, il en grouille dans les postes de Police, en veux-tu en v’la.
Dites-moi donc si l’assassin de Freddy
Villanueva, qui avait le tort lui d’être un petit délinquant fiché, a été puni
pour son crime? Pas du tout! Ce n’est pas de sa faute c’est celle de son gun, si
Freddy est mort! D'autant plus que le bougre jouait aux dés dans un parc avec ses copains, ce qui bien évidemment justifiait qu'il se fasse interpeller, agresser et tuer hein? L’enquête, à force de piétinements, de tergiversations, de sophismes techniques, est
maintenant affaire du passé, et ce tueur est probablement encore dans la Police
où il se fait oublier. Bien content d’avoir eu un puissant syndicat
pour l’excuser, expliquer son geste comme étant un manque d’encadrement. Bref c’est
un irresponsable et comme tel il ne peut pas être puni. Non, il vaut mieux parfaire sa formation.
Pas mal comme entourloupette
sémantique. Bien évidemment cela ne trompe personne. Le nombre de fous dans la
Police qui tirent sans réfléchir, il y en a tant que l’on n’arrive plus à les
répertorier. Il y en a eu un, simple anecdote ici, qui un jour pas si loin, dans un centre d’achat
de Ville Lasalle a tiré sur un client qui avait l’air de voler un pot de fleur
au printemps. Chose abominable qui mérite au moins une balle dans la peau...c'est la voiture qui a été touchée pfiouu!...et peut-être même
la mort dans la rue? Jamais eu de sanction réelle contre ce policier ‘’étourdit’’,
le pauvre.
Le jour où les policiers qui
dégainent et agressent les citoyens pour des vétilles (il parait qu'une des victimes de l'agente Trudeau avait une bière à la main, ce qui a précipité l'agression) ou même pour des raisons
plus graves, seront traduits devant les tribunaux pour y être jugés et répondre
de leurs actes, et ainsi être condamnés ou
absous par des jurys de citoyens responsables, je commencerai à attacher un peu
de crédibilité aux remords douteux des autorités policières, qui déplorent sans
les punir plus qu’il ne faut, des crimes atroces qui se passent sous leurs yeux
tous les jours, et qu’ils tolèrent comme étant de regrettables sous produits de
leur culture.
Chaque année la manifestation
citoyenne contre la brutalité policière tourne à la brutalité, aux
affrontements. Les policiers s’en donnent alors à cœur joie.
Les policiers c’est bien connu
sont des humains comme les autres. Comme les autres dites-vous? Pas du tout!
Ce sont des gens au-dessus des lois, des individus conscients de l’impunité qui les attend s’ils se défoulent. En fait la Police est une secte, et ses membres sont des sectateurs de toutes les violences.
Ce sont des gens au-dessus des lois, des individus conscients de l’impunité qui les attend s’ils se défoulent. En fait la Police est une secte, et ses membres sont des sectateurs de toutes les violences.
Ils détestent entendre des choses
pareilles et si je tombe entre leurs pattes ils m’expliqueront, matraque en
main, leur point de vue.
Stéfanie Trudeau sera peut-être
cette fois-ci renvoyée de la Police, mais elle n’ira pas en prison, et la Ville
de Montréal pas plus que le SPVM ne paieront de dédommagements aux victimes de
cette agression. Cela prendrait au moins 20 ans avant que le moindre procès
n'aboutisse...(à un non lieu).
Tenez , je fais le pari que
Stéfanie Trudeau ne sera ni renvoyée ni poursuivie, ni punie. On la mettra
dans un bureau, mais elle va garder sa job et pourra se défrustrer en donnant
des tickets.
On gage?
Julien Maréchal
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